À propos de nous

La DACMI est une monnaie numérique internationale, soutenue par les mines de diamant Africaine.
Sa vocation première est de relier l’Afrique au reste du monde ; ainsi  elle permet de développer et pérenniser l’économie africaine. DACMI est une opportunité unique pour les entreprises et les particuliers, de pouvoir être non seulement acteur du développement du continent Africain, en particulier sa région subsaharienne, mais aussi du bien-être de ses habitants.
La DACMI est donc une réponse puissante et intelligente au marché grandissant de la Crypto-monnaie, stratégie saluée par le fameux magazine Forbes qui considère que le Saint Graal de la monnaie virtuelle est un token a l’image du jeton ERC20 DACMI, qui, de par la stabilité qui le caractérise permet d’intégrer les monnaies numériques dans le courant monétaire dominant.
 

NOTRE PROJET 

Notre stratégie d’investissement est simple et efficace. Elle permet d’agir avec altruisme, et de manière réfléchie.Cinq milliards de pièces sont émises et réparties dans des portefeuilles DACMI, c’est une opportunité concrète de participer aux projets de développement économique de type industriel et commercial susmentionnés ci-dessus
A terme, ces leviers accorderont à l’Afrique et a son peuple davantage de visibilité et de force sur la scène internationale, ce qui lui permettra de jouir d’une autonomie financière et d’une indépendance économique mérité et recherché depuis si longtemps.
Avec la montée inéluctable des monnaies numériques et des technologies intégrantes, plusieurs solutions innovantes émergent pour transformer les systèmes de paiement qui existent actuellement. 
Partant de ce constat et consciente de ces innombrables ressources naturelles et concrètes, l’Afrique fait face à ce challenge mondial et met en place sa propre monnaie numérique
C’est ainsi que La DACMI compte s’appuyer sur différentes mines.

 Les DIAMANTS

Parce qu’il s’agit d’une ressource tangible, disponible en quantité et en qualité sur le  continent africain.
Parce qu’il est une représentation exacte et indiscutable, susceptible d’être compté constamment comme l’équivalent d’espèce métallique.

Le diamant, a un cours qui fluctue beaucoup plus modérément que l’or. A savoir que le cours du diamant est moins sujet aux variations que l’or, ce qui fait de lui un placement plus stable et plus régulier.
A titre d’exemple, en 2014, les prix des diamants ont reculés en moyenne de 4,2% contre 7,8% pour l’or, 23% pour l’argent et de 14,9% pour la platine.

Son cours est fixé quant à lui par un indice « Rapport » à New York qui établit hebdomadairement une moyenne des prix pratiqués dans les Bourses du Diamant et détermine ainsi le prix du diamant en dollar.

Aussi il est a noté que le manque de confiance croissant envers les institutions financières montre un engouement certain pour le diamant.De plus, l’apparition répétitive de nouvelles lois au cours de l’année 2016 ont conduit progressivement les investisseurs à se tourner vers le diamant.

 

La Coalition de la société civile du Processus de Kimberley est l’organisation faîtière qui agit en tant qu’observateur du Processus de Kimberley au nom de la société civile. Son homologue de l’industrie dans le KP est le World Diamond Council, qui a également le statut d’observateur. La plupart des membres de la coalition viennent d’Afrique, le principal continent producteur de diamants au monde. Représentant les communautés affectées par l’extraction et le commerce du diamant, ils s’efforcent d’améliorer la gouvernance du secteur du diamant dans leur pays d’origine. Leur expertise locale et régionale leur permet de suivre la mise en œuvre du PK sur le terrain et d’articuler une perspective locale sur le secteur du diamant lors du forum du PK. La coalition comprend des représentants du Cameroun, de la République démocratique du Congo, de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, du Libéria, du Lesotho, de la Sierra Leone et du Zimbabwe


Qu’est-ce que le Processus de Kimberley ?
Le Processus de Kimberley (KP) est un mécanisme international destiné à empêcher l’afflux de diamants de la guerre sur le marché mondial grâce à la mise en œuvre d’un système de certification d’import/export applicable aux diamants bruts. Créé en 2003, le PK se réunit deux fois par an et rassemble 82 États membres participants. L’adhésion au KP exige que les États satisfassent à certaines exigences de base concernant la manipulation des diamants bruts. Le PK est un système tripartite qui inclut la société civile et l’industrie en tant qu’observateurs du processus, qui est mis en œuvre par les gouvernements participants.

Chacun des trois piliers du KP joue un rôle important : alors que seuls les gouvernements participants ont des pouvoirs de décision, les observateurs de la société civile du KP sont censés assurer la surveillance, tandis que le pilier industrie fournit des conseils techniques et une expertise. Afin de faciliter le fonctionnement efficace du PK, le pilier de la société civile est composé d’organisations de la société civile réunies en une coalition pour discuter et former des positions communes soutenant toutes les parties prenantes de la société civile sur des questions pertinentes pour le PK